Bebloom at work

Des salariés épanouis, enthousiastes et en bonne santé pour le succès des entreprises !

Il n’y a pas besoin que quelque chose se passe mal au sein
d’une entreprise pour choisir d’améliorer le bien-être des salarié.es 🙂

  • Vous êtes chef.fe d’entreprise, d’équipe ou à la tête d’un département RH au sein d’une société ouverte et novatrice qui place l’Humain, son bonheur et son bien-être au cœur de sa culture.

Orienter la culture d'entreprise vers plus de créativité, de responsabilisation et d'enthousiasme au travail grâce à des outils simples à mettre en place, concrets et remplis de bon sens, c'est possible !

Pour me contacter 

Ce que disent les entrepreneurs ou décideurs

Dès le lancement de l’expérience, nous avons eu des réflexions et des réactions différentes lors de certaines situations avec des effets positifs immédiats.

C’est génial de pouvoir améliorer la qualité de vie – au travail ou ailleurs – de nos collaborateurs et nous-mêmes grâce à des techniques simples et des prises de conscience qui induisent une nouvelle manière de voir les choses et un changement dans nos réactions.

Noël Ruffieux & Fils SA - Annick Remy-Ruffieux

Grâce à cette formation, j’ai rempli ma caisse à outils : certains je les ai découverts, certains autres Diane m’a aidé à les dépoussiérer et d’autres encore elle m’a appris à les utiliser !

J’ai maintenant en tête une bonne quantité d’alarmes et divers panneaux directionnels pour me guider dans ma vie de tous les jours.

Profarm - Frédéric Savio

Durant nos divers workshop, Diane a su, grâce à sa motivation et à ses diverses astuces, nous mener vers une zone de travail quasi sans plainte. 

PCL Fiduciaire

Je suis plus orienté solution et je me force à prendre sur moi avant de chercher la faute ailleurs

En fait ce n’est pas compliqué de changer mais il faut se fixer des buts, faire preuve de discipline et de patience pour reprogrammer son esprit.

Dans cette situation, si j’avais appliqué mon mode du passé, je lui aurais dit que j’ai dû organiser cette séance à sa place alors que c’était à elle de le faire et qu’elle a en plus le culot de critiquer des personnes sans le leur dire en face. Ce que j’ai fait à la place aujourd’hui : je me suis entretenu avec elle pour comprendre pourquoi elle n’a pas pris les devants pour organiser cette séance et j’ai essayé de comprendre pourquoi elle se prononçait négativement sur cette dernière. Chacun a pu s’expliquer et il n’y a pas eu d’émotions négatives.

Nous intégrons plus le feed-back dans nos relations, sommes beaucoup plus ouverts à l’écoute et on se rappelle au début de chaque rencontre que nous ne sommes pas des ennemis mais des alliés et c’est pour cela que nous devons nous dire les choses mais si elles sont parfois difficiles à accepter.

Le plus difficile à comprendre lorsqu’on s’améliore : je n’arrive pas à comprendre pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt parce que finalement lorsque la volonté et la discipline y sont, c’est simple 🙂

2 mois après la fin du programme complet (4 rencontres) au sein d'une entreprise Lausannoise
Suite à une conférence en milieu scolaire

Dans nos sociétés où tout va très vite, la remise en question est devenue un facteur de succès fondamental. Il s’agit toutefois d’un processus difficile qui ne peut débuter que si chaque individu privilégie l’action à la plainte. Le cours donne tous les instruments nécessaires pour entamer cette démarche individuelle et de groupe. La manière très pragmatique d’aborder la thématique et les nombreux exemples rendent le cours dynamique et très efficace.

Securitas Direct - Christian Chenaux

Cette intervention a permis à l’équipe enseignante de prendre conscience que nous râlons souvent. Que l’on soit d’accord ou non, c’est une réalité qui nous permet d’avancer, chacun à sa manière. Dans notre établissement, l’ambiance se bonifie toujours un peu plus.

Ecole de la Léchère - Thierry Bürgisser

Le plus grand changement c’est que chacun a pris conscience qu’il râlait parfois pour rien. Maintenant, la plupart des membres de l’équipe viennent vers moi non plus pour râler mais essaient d’être constructifs. Certaines personnes s’adressent à moi en me disant avec un petit sourire qu’elles ne vont pas râler mais qu’elles veulent juste me dire que… Je trouve cela très amusant.

3 mois après une conférence d'une heure dans un établissement scolaire

Le projet avance bien autant personnellement que professionnellement. A l’école, plusieurs petites victoires : des enseignantes ont acheté le livre de Will Bowen et 1 a commencé le challenge. Il y a une prise de conscience sur la façon de s’exprimer : souvent maintenant à la salle des maîtres, j’entends des commentaires mais plus basés sur des faits, moins sur les sentiments. Parfois, j’entends aussi « arrête de râler », ou le contraire « zut, je râle ». C’est sur le ton de la plaisanterie, mais cela montre une prise de conscience. Au début janvier, lors de notre réunion plénière, j’ai fait un retour « pépites » et deux enseignantes ont osé s’exprimer devant tout le monde pour exprimer leur « succès ».  J’avance. 

2 mois après une intervention de 3h en milieu scolaire

Madame Morard* a présenté un sujet. Elle m’a vraiment impressionné. Elle était très bien préparée, structurée et claire. Elle montrait une grande assurance et un fort enthousiasme (ce qui était impensable il y a un certain temps)  🙂

En cours de démarche au sein d'une entreprise Lausannoise

Nous pouvons parler ouvertement de cette manière de fonctionner « sans se plaindre ». Le chemin est encore long. Actuellement, nous plantons des petites graines et un jour, elles donneront de belles fleurs 🙂

Les personnes sont plus positives et ont tendance à fuir les quelques pollueuses d’ambiance en essayant de générer une belle zone positive dans le bureau. 

Ma collaboratrice a proposé de mettre la minute positive dans nos séances de team.

Je trouve que l’ambiance est plus détendue et j’entends des phrases du style « je suis en absence momentanée de solutions ».

La personne n’en rajoute pas lorsque un autre collège se plaint. 

J’ai trouvé que ma collaboratrice s’est remise en question et a commencé à travailler sur son comportement. 

Ce sujet est souvent abordé « à la cuisine » étant donné qu’il y a une table « zone sans râler ». 

Au niveau du bureau, j’entends des gens se reprendre en cas de rouspétance ou changer d’eux-mêmes leur bracelet de poignet avec humour.

Un apaisement certain lors de pannes informatiques qu’elles partagent avec ceux qui n’ont pas suivi le cours.

Un jour, en pause de midi, nous avons parlé de la positive attitude. Les personnes disaient qu’il était difficile d’être positif en lisant les journaux… du coup, nous avons relu les journaux mais uniquement les articles positifs… conclusion : il y a pleins d’articles positifs mais nous lisons toujours ce qui est négatif… cette discussion était très intéressante et constructive… 

Dans le team, en cas de « problème », je demande systématiquement s’il est possible de changer quelque chose. Si oui, je lui demande de passer à l’action et si non je lui conseille de lâcher prise. 

Pour certains d’entre eux, plus de distance sur les choses sur lesquelles ils n’ont pas forcément prise.

Lors d’informations et de contre-informations, elles ne relèvent plus ces états de fait.

Ma collaboratrice me parait plus positive à vendre est-ce dû à Bebloom ?

La personne qui a participé au cours se plaint encore un peu… cependant, elle se concentre plus vite sur son travail lorsque ses collègues se plaignent.

Quelques observations sur le terrain au terme du programme en 3 rencontres au sein d'une entreprise bulloise
Retour en haut